Le président du CAB remis en liberté

Le président du Club athlétique bizertin Abdesselam Saïdani a été remis en liberté sur décision du ministère public, les investigations ayant permis d’établir que les pistolets trouvés dans sa valise à l’aéroport de Tunis-Carthage n’étaient des armes de guerre ni des armes à feu mais des armes à air comprimé ou sonores qui fonctionnent avec des munitions propres à elles, a-t-on appris auprès du porte-parole du ministère de l’Intérieur, le colonel-major Khlifa Chibani.

''Les armes saisies n’étaient pas camouflées et étaient accompagnées de leurs factures d’achat'', a-t-il précisé.

Selon le directeur exécutif du CAB, Abdesselam Saïdani a été relâché dimanche aux alentours de midi après avoir été entendu par le ministère public.

Le président du CAB avait été interpelé par la douane à son arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage en provenance de Paris, des armes ayant été trouvées dans sa valise.