Cet organe dont le rôle est déterminant  dans la respiration, l’oxygénation et l’élimination de dioxyde de carbone doit être ménagé. Le seul fait de ne pas l’abimer en fumant, n’apparait plus suffisant, comme le démontre l’étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.  L’étude souligne l’importance du facteur sommeil dans la bonne santé de nos poumons. 

Se comporter autrement peut faire courir des risques à cet organe indispensable à notre corps et pas n’importe lesquels. Les chercheurs de l’université de Manchester ont analysé les données génomiques de près d’un demi-million de personnes et tenu compte des différents facteurs de risques de la fibrose pulmonaire qui est une maladie dévastatrice et surtout incurable. 

Les résultats sont sans appel : les personnes qui dorment moins de 4 heures ou plus de 11 heures par nuit auraient trois fois plus de risques de souffrir d’une fibrose pulmonaire que les autres. Le travail de nuit semble être également un facteur de risque.