Slim Laghmani : « Un changement du régime politique exposerait la Tunisie à des sanctions internationales »
Il précise "ne pas seulement faire allusion au chef de l’État" et dénonce « cette banalisation de la perspective d’une violation majeure de la constitution", une manoeuvre qu'il qualifie de "troublante en plus d’être dangereuse. »
Slim Laghmani explique en effet qu' « un tel changement s’il avait lieu et s’il était suivi d’un changement de gouvernement (au sens que le droit international donne à ce mot) ne pourrait qu’être qualifié de « changement anticonstitutionnel de gouvernement » et "exposerait la Tunisie aux sanctions internationales prévues par le droit de l’Union africaine, par le droit de l’Union européenne, par le droit du Conseil de l’Europe et probablement à une condamnation de la part des organes politiques de l’ONU. »
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