Ghazi Chaouachi : "Nous serons à l'Avenue Habib Bourguiba le 14 janvier pour protester contre le coup d'état"

Le dirigeant du parti a, par ailleurs, déclaré que les partis sociaux-démocratiques seront au rendez-vous, non seulement pour célébrer la révolution 17 décembre-14 janvier, mais aussi pour exprimer leur refus du pouvoir autocratique et défendre la démocratie.
" Le pays a pris un virage décisif et dangereux, a-t-il dit. Il s'agit d'un coup d'Etat conduit par le chef de l'Etat qui cherche, selon le dirigeant du Courant démocrate, à imposer un changement de la constitution tunisienne, du système politique et de la loi électorale.
Pourtant, estime-t-il, ces questions ne constituent pas des priorités pour les Tunisiens qui sont sortis le 25 juillet réclamer l'amélioration des conditions économiques et sociales.
Selon Chaouachi, la coordination avec l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) est toujours en cours.
Il a ajouté que l'UGTT tout comme le Courant, rejette "cette déviation du pouvoir" et plaide en faveur d'un nouveau paysage et d'une feuille de route participative pour sauver le pays de la faillite et l'explosion sociale.
Le président de la République est aujourd'hui appelé à s'ouvrir sur le dialogue et à écouter les réelles préoccupations du peuple tunisien, a-t-il soutenu.
Par ailleurs, le SG du Courant démocrate a fait part du refus de son parti à la consultation électronique, actuellement en cours expérimentation, estimant que ce mécanisme ne peut, en aucun cas se substituer au dialogue interactif.
" Cette consultation comporte des questions préétablies dont l'objectif, désormais connu, est d'imposer une nouvelle constitution ainsi qu'une nouvelle loi électorale ".
" Le pays a pris un virage décisif et dangereux, a-t-il dit. Il s'agit d'un coup d'Etat conduit par le chef de l'Etat qui cherche, selon le dirigeant du Courant démocrate, à imposer un changement de la constitution tunisienne, du système politique et de la loi électorale.
Pourtant, estime-t-il, ces questions ne constituent pas des priorités pour les Tunisiens qui sont sortis le 25 juillet réclamer l'amélioration des conditions économiques et sociales.
Selon Chaouachi, la coordination avec l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) est toujours en cours.
Il a ajouté que l'UGTT tout comme le Courant, rejette "cette déviation du pouvoir" et plaide en faveur d'un nouveau paysage et d'une feuille de route participative pour sauver le pays de la faillite et l'explosion sociale.
Le président de la République est aujourd'hui appelé à s'ouvrir sur le dialogue et à écouter les réelles préoccupations du peuple tunisien, a-t-il soutenu.
Par ailleurs, le SG du Courant démocrate a fait part du refus de son parti à la consultation électronique, actuellement en cours expérimentation, estimant que ce mécanisme ne peut, en aucun cas se substituer au dialogue interactif.
" Cette consultation comporte des questions préétablies dont l'objectif, désormais connu, est d'imposer une nouvelle constitution ainsi qu'une nouvelle loi électorale ".
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