Pour le secrétaire général de la fédération, Houcine Boujarra, l’accord n’apporte ‘’aucun plus’’ aux enseignants universitaires, contrairement à celui conclu par la fédération en mars 2018.

Il l’a récusé ‘’dans la forme’’ parce que contraire aux textes en vigueur organisant la négociation entre les syndicats et l’autorité de tutelle, ‘’compte tenu du fait que la fédération générale UGTT est le partenaite le plus représentatif, avec 7000 adhérents’’, alors que ‘’le syndicat parallèle n’en compte que 1600’’ ce qui, selon lui, pose problème, même en termes judiciaires.

‘’Le ministère pourrait conclure autant d’accords qu’il veut avec les syndicats, qu’ils soient minoritaires ou majoritaires, à la condition que soient modifiés les textes en vigueur. En attendant, il est tenu d’appliquer les textes existants’’, a jouté Boujarra.