La Présidence de la République a indiqué, dans un communiqué, que Kais Saied avait réaffirmé son attachement à l'indépendance de la justice et au rôle dévolu aux magistrats dans l'établissement de la justice, sans laquelle rien ne serait juste, outre la fait que le pouvoir judiciaire est le protecteur des droits et des libertés.

Le chef de l’État a souligné « la nécessité de prendre en charge les jeunes magistrats afin que des dépassements intentionnelles ou involontaires ne se produisent pas. L'injustice est ténèbres et les mesures préventives doivent avoir des justifications objectives, telles que la tentative d'évasion du suspect ou qu'il constitue une menace pour l'ordre public et la sécurité."

Le président de la République a été ajouté que le conseil disciplinaire du Conseil supérieur provisoire de la magistrature, doit jouer son rôle de sorte que seuls ceux qui remplissent toutes les conditions d'intégrité et d'impartialité peuvent exercer en tant que juges.

La question des nominations à des postes vacants a également été abordée ainsi que la préparation du mouvement annuel de la magistrature  basé sur les dispositions de la constitution ainsi que d'autres textes liés à la fonction la plus importante au sein de l'État, qui est le pouvoir judiciaire.