L’opération de totalisation des résultats des élections sera assurée par une administration décentralisée et sera différente de celle de 2014, a-t-il expliqué, estimant que le conseil de l’ISIT sera dans l’impossibilité matérielle de valider tous les résultats et donc ce sera aux instances régionales de la faire avec rigueur tout en assurant le contrôle du déroulement de l’opération.

S’agissant du processus électoral, Chafik Sardar a indiqué que l’étape de présentation des candidatures a confirmé ses propos antérieurs, à savoir que certaines parties prenantes politiques ne sont encore prêtes. Ce processus a réussi a réussi à éviter certains risques qui étaient à craindre comme le cas de présentation d’une liste unique, toutes les circonscriptions ayant désormais plus d’une liste de candidats, a-t-il dit.

Il a par contre mis en garde contre certains autres risques, citant notamment celui d’un taux de participation trop bas oui les éventuels abus qui pourraient entacher le déroulement de la campagne électorale.