Pour lui, ‘’l’aggravation de la crise politique dans le pays commande de retourner à la table de dialogue’’ et d’étudier les meilleurs moyens de désamorcer les crises dans tous leurs aspects.

Marzouk a également assuré que son parti n’aura pas d’attitude négative face à ce qui se passe dans le pays, appelant à la nécessité de ‘’surmonter la crise politique pour la préservation de l’unité de la famille patriotique, loin des divisions qui ne profitent qu’aux adversaires’’. Mais Marzouk n’a pas précisé de quels adversaires il s’agit.

Marzouk a d’autre part l’organisation, le 30 de ce mois, d’un forum national économique, avec la participation d’économistes, représentants de groupes parlementaires et autres compétences, pour plancher sur la gravité de la situation, notamment en termes d’inflation, de glissement du dinar, d’endettement et de balance commerciale.

Il a en outre fait état de la détérioration sans précédent du pouvoir d’achat, de la flambée des prix, de l’aggravation du chômage et de la paupérisation des couches sociales fragiles.