Lors de son passage au JT de 10H sur Nessma, Akremi a ajouté que les protestataires réclament une régularisation de leur situation et leur intégration dans la fonction publique, à l’instar de nos collègues, dénonçant, à cet égard, les pratiques discriminatoires du gouvernement, à leur égard.

Dans le même contexte, Mohamed Akremi a condamné les discriminations que subissent les ouvriers de chantier sur tous les plans, à savoir les heures de travail et les différences au niveau des salaires. Un salaire qui ne dépasse pas les 300 dinars, outre, l’absence d’une couverture sociale.

Cette situation a attisé les tensions, au point de pousser certains à menacer de se suicider.

En réponse au ministre des affaires sociales, à propos des mandats de recherche lancés à l’encontre de 200 ouvriers, Akremi a démenti ces déclarations infondées, selon lui, expliquant que les amendes pour infractions routières ou échapper au service national, ne constituent en aucun cas des entraves à leur droit à une vie digne et à l’intégration dans la fonction publique.