M. Amira a indiqué que le syndicat a décidé d'organiser une manifestation devant la présidence du gouvernement, ajoutant que le ministère de la Santé aura 48 heures, pour renoncer à l'adoption de ces projets de loi, avant d'annoncer le début d'une grève générale.

‘’Les projets de lois soumis par le ministère de la Santé d'une manière arbitraire ne sont pas en conformité avec les exigences de l’étape, ce qui nuit au secteur pharmaceutique’’, affirme-il.

Le syndicaliste a souligné que la rédaction de ces lois ont eu lieu sans l’avis ou la présence du syndicat qui a tenté, durant les deux derniers mois, d’attirer, à maintes reprises, l'attention du ministre de la Santé sur l'inefficacité de ces projets’’.