La Tunisie célèbre la journée internationale des droits de l'enfant

La Tunisie a célébré, hier samedi 20 novembre, à l'instar des autres pays du monde, la journée internationale des droits de l'enfant, placée cette année, sous le thème " un avenir meilleur pour chaque enfant ".
La célébration de cet événement coïncide avec le 32e anniversaire de la promulgation de la Convention internationale des droits de l'enfant de 1989.
A cette occasion, la Tunisie a réitéré sa " pleine " détermination à aller de l'avant sur la voie du développement de son système des droits de l'enfant et à garantir un avenir meilleur à ses enfants, selon une déclaration publiée, hier soir, par le ministère des Affaires étrangères.
Cette étape importante commande l'évaluation des progrès enregistrés dans le domaine de la protection des droits de l'enfant et la mise en œuvre des objectifs de l'Agenda 2030 du développement durable, dont le droit à l'éducation, à la santé, à l'égalité des sexes, la fin de l'exploitation et la traite des enfants, et la lutte contre toutes les formes de violence à leur encontre.
Pour la Tunisie, les efforts entrepris par l'organisation des Nations unies sont insuffisants. Les chiffres liés au taux de l'abandon scolaire, à la propagation de la violence et à l'exploitation économique et sexuelle sont aujourd'hui alarmants.
" Les efforts fournis sont encore limités par rapport à l'ampleur des défis auxquels sont confrontés les droits de l'enfant particulièrement à la lumière de la crise sanitaire ", provoquée par le coronavirus, a souligné la Tunisie dans la même déclaration.
Parmi ces défis, figurent les conflits, la prolifération des foyers de tension, la propagation du terrorisme, de la violence et de l'intolérance, la discrimination raciale, le discours de haine et du rejet d'autrui, a cité le ministère des Affaires étrangères.
A cela s'ajoutent, les changements environnementaux et l'augmentation des disparités économiques et de développement entre les pays, qui affectent directement les droits des enfants.
Cette étape importante commande l'évaluation des progrès enregistrés dans le domaine de la protection des droits de l'enfant et la mise en œuvre des objectifs de l'Agenda 2030 du développement durable, dont le droit à l'éducation, à la santé, à l'égalité des sexes, la fin de l'exploitation et la traite des enfants, et la lutte contre toutes les formes de violence à leur encontre.
Pour la Tunisie, les efforts entrepris par l'organisation des Nations unies sont insuffisants. Les chiffres liés au taux de l'abandon scolaire, à la propagation de la violence et à l'exploitation économique et sexuelle sont aujourd'hui alarmants.
" Les efforts fournis sont encore limités par rapport à l'ampleur des défis auxquels sont confrontés les droits de l'enfant particulièrement à la lumière de la crise sanitaire ", provoquée par le coronavirus, a souligné la Tunisie dans la même déclaration.
Parmi ces défis, figurent les conflits, la prolifération des foyers de tension, la propagation du terrorisme, de la violence et de l'intolérance, la discrimination raciale, le discours de haine et du rejet d'autrui, a cité le ministère des Affaires étrangères.
A cela s'ajoutent, les changements environnementaux et l'augmentation des disparités économiques et de développement entre les pays, qui affectent directement les droits des enfants.
Suivez Nous