Il a également mis en garde, samedi 24 février 2018 dans un communiqué, contre '' les interférences trompeuses et attentatoires à la démocratie, notamment celles de l’argent sale et des clivages régionaux ou intéressés '', demandant à ce que soit garantie de l’intégrité du scrutin par la garantie de sa transparence et de l’égalité des chances des candidats ''.

L’UGTT s’est en outre dit préoccupée par la détérioration de la situation économique et sociale qui trouve son expression '' le repli de la croissance, la régression de l’investissement, la dépréciation du dinar, l’accroissement de l’endettement, le blocage des projets, la prolifération de la contrebande, l’hypertrophie de l’économie informelle, le recul des créances de l’Etat et l’élargissement du champ de la corruption qui ont conduit à des classements négatifs de la Tunisie dans plus d’un domaine ''. Elle réclamé des solutions urgentes pour tous ces problèmes, d’une manière inclusive.

L’UGTT a par ailleurs demandé au gouvernement d’honorer l’ensemble des ses engagement concernant les grands dossiers nationaux prioritaires et de s’en tenir aux accords sectoriels conclus.