L’avocat a rappelé que la Tunisie se trouve être membre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et a ratifié en 2011, l'annexe internationale. Et d’ajouter que le dossier sera transmis pour examen au rapporteur spécial des Nations unies chargé de la torture.

Me Hatem Chelli a expliqué que la décision onusienne en réponse à l’adresse du gouvernement tunisien est une décision souveraine de l'organisation de défense des droits de l'homme. ‘’L’Etat tunisien doit coopérer du fait qu’il est membre de la convention internationale’’, a-t-il précisé, affirmant son assurance que Saber Laajili sera, bientôt, libéré.