Dans une déclaration au site Nessma, Khémiri a souligné que le mouvement Nahdha a relevé que ces décisions ont impacté, de manière négative sur la couverture médiatique des campagnes électorales, ce qui a poussé la plupart des médias, particulièrement, privés, à refuser d’assurer le suivi des élections.

Selon le porte parole officiel de la Nahdha, ces décisions qui ont favorisé une certaine réticence chez les médias, font que cette étape historique que vit la Tunisie, n’ait pas été suivie de l’intérêt qu’elle requiert, d'autant que les médias constituent l’un des piliers de la démocratie, dans le pays et par là, ne peuvent refléter les programmes électoraux des partis et des candidats indépendants.

Khémiri a ajouté que les décisions de la Haica, au niveau des sanctions financières qu’elle impose aux institutions médiatiques ne sont pas basées sur des critères objectifs.

‘’La Haica a, certes, le droit d’exercer son rôle de régulation, mais les décisions prises à l'encontre des institutions médiatiques, n’ont pas été précédées de consultation des parties concernées, dans l’intérêt de la démocratie’’, a-t-il affirmé.

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