Zahrouni a exprimé son indignation face à la situation dans laquelle se trouve, aujourd’hui, l'école publique, particulièrement, après la suspension des cours, ajoutant que cette décision affecte l'avenir des élèves.

Le président de l’ATUPE a affirmé que le facteur décisif, dans ce dossier, demeure lié aux parents: Nous sommes avec l'école publique, a-t-il dit. Dans ce contexte, il a accusé les responsables politiques et les intervenants dans le secteur à fuir leur responsabilité dans la préservation de l'école publique.

En ce qui concerne la crainte que la fédération du secondaire déclare, l’année scolaire en cours, année blanche, Ridha Zahrouni a été clair : L'année blanche est devenue une réalité que nul ne peut nier, et la crainte habite tous les parents. Nous sommes arrivés à une situation qui n’est pas digne de l'école publique. Les dégâts occasionnés sont réels, mais il faut sauver ce qui doit l’être.