La responsabilité, c’est le gouvernement, la diplomatie, le ministère des Affaires étrangères et la BCT qui doivent l’assumer, a-t-il dit, s’étonnant du fait qu’aucune redevabilité de compte ,’a eu lieu en ce qui concerne le glissement du dinar et le pic de 7 % du taux d’inflation. Fakhfakh a en outre pointé du doigt ce qu’il considère « une lenteur dans le fonctionnement de la commission d’analyses financières, écartant l’hypothèse du complot dans ce dossier.

Pour l’invité de Ness Nessma, « la Tunisie souffre d’un problème d’application des lois, en particulier pour ce qui est des associations et de leurs sources de financement estimant que si le nombre d’associations a beaucoup augmenté depuis la révolution, elles doivent cependant se soumettre aux règles de transparence financière.