CNAM : les patients souffrant de rhumatismes privés de traitement

Dans un communiqué conjoint, les deux associations estiment que le traitement imposé par la CNAM, nettement plus lourd, implique le déplacement à l’hôpital qui engendre des problèmes, des frais de transport, et surtout une hospitalisation, qui, même si elle est faite en hôpital de jour, coûterait mille dinars, sans compter l’absentéisme et les répercussions sociales à l’échelle individuelle et collective.
Selon la même source, ces rhumatismes inflammatoires peuvent être responsables d’une altération considérable de la qualité de vie et leurs pronostics dépendent de la précocité du traitement de fond administré, en l’occurrence biologique, chez les patients en échec du traitement classique.
Ces rhumatismes touchent surtout des jeunes adultes actifs, chez qui le traitement sous cutané fait à domicile est indéniablement plus adapté à leurs vies, aussi bien pour maintenir une vie professionnelle normale, que pour avoir une vie familiale équilibrée, lit-on de même source.
Prise depuis 6 mois, cette décision perdure encore, selon le texte du communiqué, malgré les promesses des responsables de la CNAM de la réviser.
Selon le communiqué, la LITAR et l’ATR ont envoyé des correspondances aux différents responsables et aux ministres de tutelle pour dénoncer cette décision sans recevoir de réponse à leurs objections.
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