En effet, samedi 7 avril 2018, des Casques blancs, organisation humanitaire de protection civile formée pendant la guerre civile syrienne, ont dénoncé un recours au ‘’gaz de chlore toxique’’, dans la Ghouta orientale. Pour sa part, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a fait état de dizaines de cas de suffocation parmi les civils, sans confirmer ou nier l'emploi ou non d'armes chimiques.

Par ailleurs, selon une ONG médicale, au moins 41 personnes ont été tuées, à Douma et des dizaines d'autres intoxiquées.

Dans ce même contexte, Washington a dénoncé un possible recours aux armes chimiques, estimant que la Russie porterait une part de responsabilité si cette information était confirmée.

Le régime syrien a été accusé à maintes reprises d'avoir lancé des opérations chimiques contre les rebelles depuis le début du conflit.