Le cadre comprend, selon le communiqué, un milliard de dollars par an de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement et environ deux milliards de dollars pendant toute la période de partenariat de la Société financière internationale.

La Banque mondiale a déclaré que le programme vise à soutenir les efforts de l'Égypte pour créer les conditions appropriées pour parvenir à un développement vert, résilient et inclusif pour tous.

Il convient de noter que l'Égypte souffre d'une grave crise économique et d'une baisse des réserves de change du pays, suite à l'invasion russe de l'Ukraine, qui l'a amenée à demander un prêt au Fonds monétaire international, et a promis de travailler pour réduire la dette de l'État domination de l'économie en échange d'un plus grand rôle pour le secteur privé, selon Al-Hurra.