Dans un entretien au journal ‘’Le Maghreb, publié ce vendredi 23 novembre 2018, Jhinaoui a expliqué que cette décision a été prise après évaluation par le GAFI, des mesures prises par le gouvernement dans le domaine de la gouvernance fiscale et le blanchiment d’argent.

“La Tunisie a pris de grandes mesures pour satisfaire aux exigences légales et législatives requises par la communauté internationale pour travailler sur la révision de la loi sur le terrorisme et soutenir le travail du Comité d’analyse financière de la Banque centrale, BCT afin de jouer son rôle dans le suivi des envois de fonds, de financement du terrorisme et d’autres mesures”, a souligné le ministre des Affaires étrangères.

Jhinaoui a rappelé que la Tunisie se prépare à des échéances importantes, en 2019, notamment le sommet arabe outre sa candidature au poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.